Produire des rendements en lien avec une prise de risque plus grande fait de la Bourse une ressource très prisée. Néanmoins, il n’est pas donné à tout le monde de bien s’y naviguer…surtout en période d’inflation. Ce marché s’adresse particulièrement aux investisseurs expérimentés, aptes à reconnaître le potentiel de certaines entreprises et peu disposés à tout perdre en quelques heures. Pour un investissement plus serein, il suffit de passer par des fonds en actions qui vous garantiront un bon taux de dividendes et de rendements lors de l’achat ou de la vente de titres.
Les obligations sont à écarter. Les Obligations Assimilables du Trésor (OAT), à titre d’exemple, sont les titres les plus fiables pour conserver l’épargne. C’est ainsi car le risque de défaut d’un État est presque inexistant. L’État français a une réputation en la matière, mais ses taux d’intérêt étant fixes, l’investissement se verra être dégradé progressivement au fil des ans.
Des Obligations Indexées à l’Inflation (OII) fonctionnent différemment des OAT. En cas d’inflation, la valeur d’origine (au moment de l’achat du coupon) est maintenue et ne dépend que des taux réels.
Après deux ans de confinements et de réouvertures, bon nombre d’analystes prévoyaient un retour à la normale en 2022. On assistait à un rééquilibrage progressif entre l'offre et la demande dans un contexte de croissance supérieure au potentiel parmi les grandes économies développées. La forte demande confrontée aux goulets d'étranglement liés à la pandémie, laissait prévoir l’apparition de tensions, se traduisant éventuellement par une hausse des prix. L'inflation élevée était donc bien venue pour rester en 2022. Est-il malin d’investir en Bourse dans un tel contexte ? Il y a plusieurs arguments en faveur.
Saviez-vous qu’en 10 ans, la bourse mondiale a produit plus de 17% de rendement annuel ? D’ailleurs, ce chiffre est de plus de 9% pour le Cac 40 ! L’investissement est tout simplement plus rentable que l’immobilier. Il n’est pas difficile d’enregistrer de telles performances sans prendre trop de risques. Cela reste même envisageable en période de crise, la connaissance de quelques notions et l’application de bonnes méthodes suffisant à vous mettre sur les bons rails.
Il faut dire que l'investissement boursier fut depuis longtemps mal vu en France. De nos jours, les épargnants sont encore nombreux à l’associer à un jeu. L’expression “jouer en bourse” est d'ailleurs encore très courante. Pour mettre les choses au clair, il est important d’insister que l’investissement boursier n’est pas un jeu mais bel et bien un placement produisant des gains concrets et fiables. Il ne s’agit pas d’un risque démesuré. On peut réussir concrètement, et ce, en s'appuyant sur la croissance d’entreprises dans le monde entier. Historiquement, celle-ci ne fait que grimper sur le long terme. La Bourse reste aussi très accessible.
La bonne maîtrise de ses principes et l’application de quelques règles basiques (l’investissement d’une partie limitée de son capital net, la multiplication de points d’entrée et la diversification) promettent généralement de bons résultats.
Bien évidemment, le risque inhérent y est bien plus élevé que celui de l’assurance-vie ou même de l’immobilier. En conséquence, il est fortement conseillé de ne jamais placer toute son épargne en actions. Toutefois, une bonne diversification de son portefeuille en actions, fonds euros, immobilier et assurance-vie permettent l’obtention d’un bon rendement avec risque maîtrisé.
Un exemple d’allocation de patrimoine équilibrée pourrait être : 50% en fonds euros, 30% en actions et 20% en immobilier. Une répartition typique et surtout très malléable en fonction de son profil d'investisseur et de son aversion aux risques. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à visiter investissementmalin.fr.
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